| J’ai toujours pensé que fuir
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| Serait la plus belle des sorties
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| Je n’ai pas su te le dire
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| Maintenant, j’ai le couteau dans le dos
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| Si tu savais comment faire
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| Pour que je puisse m’en sortir
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| Tu ne m’aurais pas fait taire
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| Le jour ou j’allais tout te dire
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| Laisse-moi histoire de plaire
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| De toi, faut te faire mine
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| Puis je rattrape le tire
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| Et je t'érige au plus haut
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| De mon mur de conquêtes
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| Où je rassemble tes cris
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| Que tu m'épelles qu'à t’faire en l’air
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| Puis qui couleront sur ma peau
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| Oooooh, comme ça
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| Je t’idéalisais, je te consommais puis je t’ignorerai
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| Oooooh, comme ça
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| Je t’idéalisais, je te consommais puis je t’ignorerai
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| À mes yeux tout était vu
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| Tu me voyais comme presque tout
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| J’ai bien trop su salir le beau
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| Que tu mettais dans nos nous
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| Pourtant ce n'était que du cul
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| On le sait trop pendant nos yeux
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| Ça sent le plu et le dégoût
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| Qui se mélangent à petits feux
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| Tu ne me fais plus trop d’effet
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| À trop vouloir goûter au trop
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| Je ne m’y suis pas reconnu
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| Car je suis toujours en plein galop
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| Oooooh, comme ça
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| Je t’idéalisais, je te consommais puis je t’ignorerai
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| Oooooh, comme ça
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| Je t’idéalisais, je te consommais puis je t’ignorerai
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| J'étais venu aux aurores
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| Comme les matins au ciel chaud charnel
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| Je t’ai vu, alors alors
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| Avec un bout et doux pactole pastel
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| Je voulais juste te jouer de toi
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| Juste comme on fait si bas
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| Un peu comme ci, un peu comme ça
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| Comme dans mes grands films, stars de cinéma
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| Puis j’ai finit sur le bord, avec la peau de mon genou qui craquait
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| Je ne pensais pas toucher le sol
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| Aussi violemment que ma peine
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| Toi, tu as bien pu jouir en moi
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| Moi je n’ai jamais joui de toi
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| Un peu comme ci, un peu comme ça
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| J’ai même pas pu faire mon cinéma
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| Oooooh, comme ça
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| Tu m’idéalisais, tu me consommais puis tu m’ignoreras |