| Elle vit sa vie dans le ghetto
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| Comme des millions de femmes
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| Elle connaît les vices de la rue
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| Et en préserve son âme
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| Fragile et si forte on dit d’elle
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| Que son regard d’enfant
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| Raviverai la joie dans le coeur
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| Du dernier des mendiants
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| Elle répand l’amour le matin comme le soir
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| Elle est la lumière quand le ghetto broie du noir
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| Elle est là pour moi quand je ne veux plus y croire
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| Je sais que le long des trottoirs
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| Les anges ont leurs agents
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| Je pourrai dire que j’ai vu l’espoir
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| Juste en bas au croisement
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| Elle répand l’amour le matin comme le soir
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| Elle est la lumière quand le ghetto broie du noir
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| Elle est là pour moi quand je ne veux plus y croire
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| Elle passe dans ma vie et grave son histoire
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| Elle vit sa vie dans le ghetto
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| Comme des millions de femmes
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| Elle connaît les vices de la rue
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| Et en préserve son âme
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| Elle a connu ses fidèles amants
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| Qui partent au gré du temps
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| Pourtant loin du désenchantement
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| Elle repart en avant
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| Et…
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| Elle répand l’amour le matin comme le soir
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| Elle est la lumière quand le ghetto broie du noir
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| Elle est là pour moi quand je ne veux plus y croire
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| Elle marche, tête haute, telle une reine
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| Et le noir de ses yeux trahi
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| Un passé serré chez ses danses
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| Elle n’est que sagesse aujourd’hui
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| Elle répand l’amour le matin comme le soir
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| Elle est la lumière quand le ghetto broie du noir
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| Elle est là pour moi quand je ne veux plus y croire
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| Elle passe dans ma vie et grave son histoire |