Quand t’es parti
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J’ai mal partout
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C’est réparti
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Ça part du cou
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En descendant, ça investit
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Une omoplate ou un genou
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Il n’y a pas un abattis
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Qui se tienne en dehors du coup, oh !
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Plus décatie qu’un vieux matou
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Quand t’es parti, j’ai mal partout
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Plus décatie qu’un vieux matou
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Quand t’es parti, j’ai mal partout, oh !
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Dans les orties
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Je me tatoue
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Ça fait des plis
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Ça fait des trous
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De partout, je me sens blettie
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Je multiplie les coups de mou
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J’ai des glouglous dans mes circuits
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Tous mes grigris deviennent flous, oh !
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Comme un frichti sans son faitout
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Quand t’es parti, j’ai mal partout
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Comme un frichti sans son faitout
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Quand t’es parti, j’ai mal partout, oh !
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Quand t’es parti
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Sans un poutou
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Ben mon hostie
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J' t’ai dit de tout !
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Je t’ai cherché dans ton tipi
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Je t’ai traqué dans ton igloo
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Mais quand j' te cherche à Djibouti
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Tu vas m’attendre à Tombouctou, où?
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Je suis roustie mais toi itou
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Quand t’es parti, j’ai mal partout
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Je suis roustie mais toi itou
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Quand t’es parti, j’ai mal partout, oh !
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Mais j’ai le rythme dans la peau, moi !
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Mais de Chatou
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À Tahiti
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Tu vas partout
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J' suis mal partie !
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Ouh la la, ma sœur !
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Mais qu’est-ce qui m’a pris d'écrire une chanson comme ça?
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J’aurais mieux fait de rester «chanson française» avec la guitare et les grands
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cheveux, et Lénine, et tout ça !
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Seulement, voilà, tu fais une chanson, il faut que tu la chantes
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Sinon les droits d’auteur, ils ne tombent pas !
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Alors tu la chantes !
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Ben, voilà ! |