| Les jours de ma vie s’en vont sans que j’aie pu retenir une leon
|
| Je sais que l’amour est l, infiniment troublant, attendant d’tre vu Quand viennent les coups de grisou, la vie demande tant de vous
|
| Je me demande quels vents de l’enfer, une fois, j’ai obI tout bas
|
| J’ai eu des temps de folie, des temps d’horreur et des nuits d’oubli
|
| Quand on sait l’angoisse l, infiniment cruelle, attendant la cure
|
| Le monde est doux dehors, doux, doux, doux dehors
|
| Et fou dedans, fugitif et lent, flou d’abord, doux, doux, doux, dehors
|
| Fou de sang, vous entrez dedans
|
| Mais jamais, vous n’en sortez comme avant
|
| J’ai regrett d’tre aveugle souvent quand l’amour me regardait
|
| Infiniment patient, attendant d’tre vu La trace de mes poisons, moi, je la porte sur mon front
|
| Je sais que la vie s’en va, infiniment plus belle qu’on ne l’imagina
|
| Le monde est doux dehors, doux, doux, doux dehors
|
| Et fou dedans, fugitif et lent, flou d’abord, doux, doux, doux, dehors
|
| Tout le temps, ternellement
|
| Le monde est doux dehors, doux, doux, doux dehors
|
| Et fou dedans, fugitif et lent, flou d’abord, doux, doux, doux, dehors
|
| Tout le temps, ternellement
|
| Ah ah ah, ah ah ah, doux dehors, fou dedans. |