Yah, comme une fleur poussant dans l’ciment, j’te trouve hallucinante
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Comme les silences que tu laisses quand j’te parle d’mes sentiments
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Tellement distante quand tu dis: «Nan»
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J’ai l’impression d'être sur un autre continent
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Y’a d’pire qu’l’indifférence, j’ai dû faire en sorte
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De disparaître avant qu’les mots les plus féroces sortent
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Et tu n’m’as pas retenu
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Je t’ai cherchée dans d’autres femmes mais, mais je n’t’ai pas reconnue
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J’préfère te voir dans la plus horrible de tes tenues que d’en voir des
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milliers d’autres nues
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(Des milliers d’autres nues, ouais) Accorde-moi juste une autre nuit
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Tu vis dans mes pensées comme un putain d’cancer, me dis pas que j’t’oublierai,
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merde, qu’est-ce que t’en sais?
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Seul et triste aux bals des ex-fiancés; |
monte sur mes pieds, j’aimerais
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t’apprendre à danser
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J’aimerais t’briser l’cœur juste pour voir si t’en saignes, juste pour voir si
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t’arrives à t’remettre en selle
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J’aimerais qu’on inverse les rôles dans cette mise en scène, putain,
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j’ai tellement l’seum que j’veux plus qu’les gens s’aiment
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J’comprends toujours pas ton attitude, pourquoi tu m’as menti, tout c’temps?
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Tu m’as laissé prendre de l’altitude pour m’laisser tomber, comme d’habitude
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J’ai rien vu venir, c’est ça qui m’tue, j’pensais qu’ensemble on s’rait
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constants
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Jusqu'à c’que ton amour capitule, jusqu'à c’que ton amour capitule
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J’ai toujours pas changé les draps, j’y arrivais pas, nan
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T’es partie parce que, dans mes bras, t’y arrivais pas, nan
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T’aurais dû m’laisser du temps, t’aurais dû m’laisser du temps
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Mais t’y arrivais pas, t’y arrivais pas, nan
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J’ai toujours pas changé les draps, j’y arrivais pas, nan
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T’es partie parce que, dans mes bras, t’y arrivais pas, nan
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T’aurais dû m’laisser du temps, t’aurais dû m’laisser du temps
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Mais t’y arrivais pas, t’y arrivais pas, nan
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J’t’ai pas donnée assez d’attention, obnubilé par mon ascension
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J’me suis perdu dans mes textes, toi, tu connaissais déjà la fin d’la chanson
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Et tu m’as laissé foncer dans un mur, j’savais pas qu’y’avait d’la haine dans
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l’amour
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Tu m’as pas empêché d’enlever mon armure parce que, quelque part,
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tu souhaitais ma mort
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Ouais, tu souhaitais ma mort, et
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Tu baissais les yeux quand j’te disais: «Tu m’redonnes goût à la vie, mi amore»
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Aujourd’hui, j’suis plus que bas, tous mes potes me disent: «Comporte-toi
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comme un homme», et
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Personne peut m’comprendre, c’que j’ressens au plus profond d’moi reste
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impossible à nommer
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J’ai toujours pas changé les draps, j’y arrivais pas, nan
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T’es partie parce que, dans mes bras, t’y arrivais pas, nan
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T’aurais dû m’laisser du temps, t’aurais dû m’laisser du temps
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Mais t’y arrivais pas, t’y arrivais pas, nan
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J’ai toujours pas changé les draps, j’y arrivais pas, nan
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T’es partie parce que, dans mes bras, t’y arrivais pas, nan
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T’aurais dû m’laisser du temps, t’aurais dû m’laisser du temps
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Mais t’y arrivais pas, t’y arrivais pas, nan
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Non, non, non, non, non, non
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Non, non, non, t’y arrivais pas, t’y arrivais pas
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Non, non, non, non, non, non
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Non, non, non |