Dans le journal, j’ai lu ce matin
|
Qu’un peu partout ça ne va pas bien
|
Et que la Terre est comme un volcan
|
Qui fait entendre des grondements
|
Et, dans la rue, je me suis sentie
|
Une fourmi parmi les fourmis
|
Elles couraient, je courais aussi
|
Et c’est alors que je me suis dit
|
Dans tes bras, je n’y pense pas
|
Je suis près de toi et je t’aime
|
Dans tes bras, moi, j’oublie tout ça
|
Il n’y a plus que toi
|
Plus que toi et moi
|
J’ai vu des gens qui ont tout leur temps
|
Malheureusement, ils n’ont pas d’argent
|
J’ai vu des gens qui sont pleins d’argent
|
Malheureusement, ils n’ont plus le temps
|
On a parlé, on a discuté
|
J’ai joué au jeu de la vérité
|
J’ai fait le compte de mes amis
|
Et c’est alors que je me suis dit
|
Jour après jour, ainsi va la vie
|
Le ciel est bleu ou le ciel est gris
|
Mais le soleil ne se couche pas
|
Lorsque je suis blottie dans tes bras
|
Oh ! |
Mon amour, si tu veux de moi
|
Je te suivrai là où tu iras
|
Je ferai tout ce que tu voudras
|
Mais garde-moi toujours dans tes bras ! |