Oh oh oh oh oh
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Oh oh oh oh oh
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Oh oh oh oh oh
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Oh oh oh
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Encore, encore, c’est pas fini, c’est pas fini
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La pleine lune, les vagues qui s’effacent, c’est pas fini
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Ici, Bretagne — Las Vegas
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Tout miser sur un rêve, tamiser la lumière et oser
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Tout envoyer en l’air, encore, encore
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C’est pas fini, c’est pas fini
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Les nuits dans l’vingtième
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Les berges de la Seine
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C’est pas fini, ici Paris s'éveille
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Oh oh oh oh oh
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Oh oh oh oh oh
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Oh oh oh oh oh
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Oh oh oh
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Personne nous empêchera d’aller courir
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L’Amérique Nord, Sud
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Se lever à l’Est, fermer les yeux à l’Ouest
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Embarquer deux-trois frères, à l’aise dans nos baskets
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On dira non aux heures sup'
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Ensuite on ira s’enivrer des décalages horaires
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Perdre nos consciences dans les bars à hôtesses
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Faire crier l’monde comme les anges déchus
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Protéger par l’inconnu et les paratonnerres
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Chercher l’espoir où ils vivent de haine
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En attendant les remises de peine
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J’te prendrai par l'épaule pour déchirer les frontières
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Personne nous empêchera d’habiller nos hivers
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On fera tout ça sans thunes, seulement les convictions
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C’est pas fini, ici Bangkok à l’horizon
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Encore, encore, c’est pas fini, c’est pas fini
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Les mains lavées dans ma neige
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Dans le regard d’un loup, c’est pas fini
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Ici, Varsovie — Moscou
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Oh oh oh oh oh
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Oh oh oh oh oh
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Oh oh oh oh oh
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Oh oh oh
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Nos paupières qui se ferment, changer de direction
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Et oser pousser nos voix à l’unisson
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Encore, encore, c’est pas fini, c’est pas fini
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Cueillir des voyages, des visas
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Viser haut, c’est pas fini
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Ici, Kinshasa — Mexico
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Oh oh oh oh oh
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Oh oh oh oh oh
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Oh oh oh oh oh
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Oh oh oh
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C’est pas fini même si la mort nous frôle
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Parce que t’es là et t’es comme une boussole
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T’es comme les étoiles, la nuit tu m’accompagnes
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J’te laisserai fouiller dans mes rêves indomptables
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J’ai perdu la foi mais pas l’envie
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Avance le cœur meurtri, ainsi va la vie
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Rien n’est fini, oh non rien n’est fini
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On verra Lausanne et puis l’Indonésie
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Les cheveux mouillés, allongé sur le sable
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Tu roules un joint d’herbe et danses avec le diable
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Me parle pas d’hier car hier j’manquais d’air
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J’profite du présent, p’t'être que demain j’irai mal
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Et le chant des oiseaux décidera nos réveils
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Fini le stress qui coûte monts et merveilles
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Puisque le monde est à toi, on se mettra à l’aise |