| La grandeur du ciel de ce soir, enveloppe deux corps qui se séparent brutalement
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| Est-ce que ce sont les nôtres? |
| Est-ce que ce sont les leurs?
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| J’aimerai te répondre plus calmement
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| Ecrire ces mots, c’est comme dessiner des rêves
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| Et plus les mots sont noirs, plus les rêves nous illuminent
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| J’ai déjà cru avoir mérité l'échec
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| Jamais que tous mes efforts étaient inutiles
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| Je suis ce fou à lier qui, pour devenir un jour paisible vit dans la tension
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| Je suis certain que ton regard posé sur moi est ta plus fidèle attention
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| L’avertissement de l’inévitable fin, la terreur de nos regards tremblants
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| La brutalité des sons qui traversent tes silences me font l’effet d’une lame
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| tranchante
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| Ces mots s’abîmeront le jour où tu le décideras
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| Mais disparaîtront avant que tu les déshydrates
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| Ces mots plairont davantage à la nuit qu'à la clarté
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| Sur la lumière de tes yeux, ils feront une aparté
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| Jalouser l’immobilité des montagnes
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| Tu vois, est dans un de mes grands défauts
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| Quand mes démons gagnent sur moi
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| Ces mots s’abîmeront le jour où tu le décideras
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| Mais disparaîtront avant que tu les déshydrates
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| Ces mots plairont davantage à la nuit qu'à la clarté
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| Sur la lumière de tes yeux, ils feront une aparté
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| On se dévoilait toutes nos failles inconsciemment
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| Durant les moments les plus parfaits
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| A la recherche de ton parfum
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| Comme Grenouille, le monde me prend pour fou
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| Ces mots s’infiltreront dans tes rêves
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| Comme une poussière dans tes yeux
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| Lorsque la fleur fane au vent
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| Ses pétales ne peuvent pas danser seules
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| L’esprit occupé par ces destins
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| Qui se croisent mais qui se manquent toujours
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| Essoufflé, mais jamais à bout de souffle
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| Pour creuser tes mystères faits de sous-couches
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| La lune devient le grain de beauté de la nuit
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| Quand son ciel se met à noircir
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| Ô combien j’aimais te voir lire
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| Allongée pendant que j'étais, ces soirs, ivre
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| Pendant qu’on courait un champs de rêves inexaucés
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| Je me suis mis à douter d’eux
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| Mais le poids de ces doutes, s’est logé sous mes yeux
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| Ces mots s’abîmeront le jour où tu le décideras
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| Mais disparaîtront avant que tu les déshydrates
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| Ces mots plairont davantage à la nuit qu'à la clarté
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| Sur la lumière de tes yeux, ils feront une aparté
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| Jalouser l’immobilité des montagnes
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| Tu vois, est dans un de mes grands défauts
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| Quand mes démons gagnent sur moi
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| Ces mots s’abîmeront le jour où tu le décideras
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| Mais disparaîtront avant que tu les déshydrates
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| Ces mots plairont davantage à la nuit qu'à la clarté
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| Sur la lumière de tes yeux, ils feront une aparté |