Інформація про пісню На цій сторінці ви можете ознайомитися з текстом пісні Monsieur Qui ?, виконавця - Arsenik. Пісня з альбому Quelque Chose A Survecu, у жанрі Поп
Дата випуску: 27.03.2002
Вікові обмеження: 18+
Лейбл звукозапису: Parlophone, Warner Music France
Мова пісні: Французька
Monsieur Qui ? |
Ou constate les dégâts, c’est le truc qu’on attend dans les bacs |
Comme l’oméga pur combattant sur l’asphalte |
Pour mes gars c’est fat, lourd de sens droit comme une flat line |
J’flatte mon ego et remonte à l’essence |
Mon adolescence c’est les halls sales sur la rap line |
La rage donne naissance à mon putain d’poison donc j’rappe la haine |
Mon blason c’est le cho-cho un mic dans la paume |
Je suis trop chaud sur dôme si l’peuple kiffe, on continue le show |
Pas d’atomes crochus avec ceux qui s’tapent des queues |
J’roule avec mes ghettos stars pour n’citer qu’eux |
Ici ou aux chtars les jeunes barbares tiquent |
Dès que le son active c’bâtard de gun sur les brassards de keufs, (lascars) |
Ruff ou moins ruff, d’ailleurs ou du coin |
Sachez que des doigts regroupés forment un seul poing |
Où sont mes enfoirés? |
Parait qu’le mouv' est dead, mec |
Devine qui vient blesser tes soirées groove |
«Borsalino», Qui? «Bors» |
Non, non, non, non, non, on dit «Monsieur Bors» |
Paré à fumer l’rap d’ici à la façon Corse |
J’plaide pour le peuple et les ghettos de ce con d’bled que je chante |
S’te plaît, mets le son à fond qu’ces enfoirés l’sentent |
J’ai une méchante envie d’vivre putain de libre |
Je déchante et les rues d’ma ville vibrent quand la basse est trop puissante |
C’est un calibre, mon mic, j’me livre, braque la foule en direct live |
Y’a tous les bras au ciel quand j’arrive |
J’roule sur le track et rappe ma putain de peine |
Dans leur baraque du bonheur, c’est la salle d’attente qu’est pleine |
Trop de jeunes s’plaignent, saignent toute la sainte journée |
C’est con mais si tu crèves, le monde continue de tourner |
C’est comme s’retourner et voir ses putains de rêves dans le feu |
Vu que gâcher son talent c’est mourir un peu |
Un peu d’espoir sur un beat pas lent |
C’est pour l'équipe et les kiffeurs de spliffs nonchalants |
S’calant sur des riffs (hein hein) |
Non trop violents, moi j’briefe les jeunes |
Qui achètent du kiff avec un collant et un gros gun… |
Où sont mes enfoirés? |
Parait qu’le mouv' est dead, mec |
Devine qui vient blesser tes soirées groove |
«Borsalino», Qui? «Bors» |
Non, non, non, non, non, on dit «Monsieur Bors» |
Paré à fumer l’rap d’ici à la façon Corse |
C’couplet je le dédie à qui me prenait pour un dingue |
J’reviens agrippe le mic, flingue l’instru genre Rakim |
C’est Villiers-le-Bel slang |
J’scratche, taquine le son, DJ que j’tringle ton bizz |
Obligé que je me distingue de ces putes, sombre comme Anakin |
Je pilote le zinc, je flotte et à qui ne pige pas |
Que je suis Hip Hop depuis zing zang de «Breakin» à «Beat Street» avant Wu Tang |
J’bouquinais le Zulu’s Letters sur «King of rock» |
Ou «Microphone Fiend», couilles dans le froc |
J’me fous de tes congratulations |
Fous l’disque et le mouv' meurt par strangulation |
Y s’trouve que j’ai toujours le même punch |
Après un paquet de copies vendues |
Qui parle de corde dans la piaule d’un pendu? |
Ma horde est tendue en retrait, attends les ordres |
Un putain de compte-rendu avant de mordre, les crânes fendus gisent |
J’taille les porcs qu’mon débit pétrifie |
On combat pas le mal avec ail et crucifix |
Où sont mes enfoirés? |
Parait qu’le mouv' est dead, mec |
Devine qui vient blesser tes soirées groove |
«Borsalino», Qui? «Bors» |
Non, non, non, non, non, on dit «Monsieur Bors» |
Paré à fumer l’rap d’ici à la façon Corse |
«Seize temps pour déchirer alors j’serai bref «» Tu sais que c’est l’enfoiré qu’a le flingue qui distribue les rôles ««» Seize temps pour déchirer alors j’serai bref «» Borsalino, celui par qui vient le scandale " |
2002, débit hostile (Ärsenik) et mon son met toujours dans le mille |
Négro les murs craquent sous la pression |
Villiers-le-Bel ghetto putain d’star, t’as rencard à la prochaine session |
Tu sais, Musical massacre pour lyrical canardeur |
Enfoiré, c’est monsieur Bors et Sulee Wilder |