Fenêtre abîmée par le vent des kilomètres
|
Je vois ce paysage comme dans un film
|
Arrêt sur image de souvenirs plus ou moins nets
|
Avec en fond le temps qui défile
|
Ça ne me manque pas encore
|
Mais je sais que les nuits chaudes sont derrière moi
|
On était toujours d’accord
|
Pour s’endormir sur la plage dans nos bras
|
Chimie physique, entre nous
|
Chimie physique, entre nous
|
Chimie physique, entre nous
|
Chimie physique, entre nous
|
Des mots approximatifs
|
Dans ta langue maternelle
|
Nos langues finissent toujours par faire
|
Ce qui est naturel
|
Des silences plus beaux que le reste, reste
|
Plus beau qu’un couché de soleil brodé sur ma plus belle veste
|
Reste, encore un peu j’aimais tellement ce lieu je veux une dernière sieste
|
Chimie physique, entre nous
|
Chimie physique, entre nous
|
Chimie physique, entre nous
|
Chimie physique, entre nous
|
Je ne me souviens à peine de ton prénom
|
Aussi compliqué qu’une expression
|
Celle de ton visage me suffisait
|
Pour saisir ce que tu voulais
|
Tu es loin et de plus en plus
|
Je compte ce qui nous sépare en cumulus
|
Je t’ai donné un faux contact
|
Entre nous un contact physique mais rien de plus
|
Chimie physique, entre nous
|
Chimie physique, entre nous
|
Chimie physique, entre nous
|
Chimie physique, entre nous
|
Minimal parc d’attractions
|
Deux amants autant de discussions
|
Que deux aimants dans un monde passion
|
Ce silence n’est jamais gênan
|
Je n'était pourtant pas vraiment la plus belle
|
Mais tu étais le plus beau
|
Nos deux corps nus allongés sous le soleil
|
Chaud mélange de peaux, de peaux |