Текст пісні Intro - MC Solaar

Intro

Première plaie déstabilisant le monde\nDe la nature veut-on creuser la tombe\nUn linceul, cercueil recouvert de feuilles mortes\nLes pluies acides ont semé le deuil\nForêt amazonienne, paradis sur terre\nVirée sur compte en banque sous forme de billets verts\nAmnésie, trou de mémoire, trop tard\nLa couche d’ozone est victime de l’histoire\nD’hommes stupides ne pensant qu'à court terme\nMais le 494 + seven traîne\nDans les parages et fier de sa stature\nUne fois de plus la terre paye en nature\nUn conquistador est un con qui s’adore\nSa seule devise est d’acquérir de l’or\nLa conclusion que je donne à cette analyse\nEst que leur seule devise reste la devise\nUne secte abjecte injecte dans l'économie\nLe narco-dollar et Solaar en est l’ennemi\nUn homme en blouse blanche\nFabrique de la poudre blanche\nEt dans l’ombre le cauchemar commence\nLe cinq cent one blâme, l’infâme dealer de came\nDont le siège social se trouve sur le macadam\nDonc stop, tel est mon vote sans équivoque\nÇa te choque, je m’en moque, la vie n’est pas un jack pot\nL’homme en blouse te blouze, il te pique ton flouze\nQu’il cherche à investir dans l’Europe des douze\nBecause, sa cause est sa dose qu’il propose sans pose\nEn un mot, il impose l’overdose\nAccumule un pécule qu’il calcule sans cesse\nIl vole les imbéciles mais bref\nLa conclusion que je donne à cette analyse\nEst que leur seule devise reste la devise\nDoublement, triplement, indubitablement hardcore\nForts soyons le et mettons-nous d’accord\nJe, tu, il, en fait nous sommes\nPour que dure l’avenir de l’homme\nQue dire alors de la colombe de la paix\nElle bat de l’aile la belle, c’est un fait\nA cause de la folie meurtrière\nIls courent vers le prix Nobel de la guerre\nA l’heure où la joie laisse place à la douleur\nOù l’inquiétude laisse place à la peur\nOn abandonne, détruit toute idée de vie\nEst-ce une philosophie?\nGuerre, drogue, pollution, conclusion\nLa situation me scandalise\nLeur motivation lorsque je l’analyse\nEst que leur seule devise reste la devise