Інформація про пісню На цій сторінці ви можете ознайомитися з текстом пісні Que ça dure, виконавця - JUL. Пісня з альбому La machine, у жанрі Иностранный рэп и хип-хоп
Дата випуску: 18.06.2020
Вікові обмеження: 18+
Лейбл звукозапису: Believe, D'Or et de Platine
Мова пісні: Французька
Que ça dure |
Tu l’attendais pas, celle-là, mmh? |
Bigflo &Oli, pourvu qu'ça dure |
Ju-Ju-Jul, Bigflo, Oli |
Bien sûr qu’tu connais |
Tu t’y attendais pas, hein? |
Comme Macron, Gilets jaunes |
Toulouse-Marseille |
Ah, ça va tourner dans les voitures |
Deux aliens, un Ovni, rendez-vous sur Saturne |
Ah, ça marche pour nous, pourvu qu'ça dure |
J’te vois bouger la tête, t’es dégoûté de dire qu'ça tue |
Ah, ça va tourner dans les voitures |
Deux aliens, un Ovni, rendez-vous sur Saturne |
Ah, ça marche pour nous, pourvu qu'ça dure |
J’te vois bouger la tête, t’es dégoûté de dire qu'ça tue |
Les journalistes rap vont faire une crise cardiaque |
Après ce couplet, quelques puristes se seront pendus |
Le public kiffe donc c’est pas grave |
T’aurais pas traité d’commercial si l’album s'était pas vendu |
On rappe avec le cœur et on l’fera encore |
Tant que la plume sèchera nos pleurs et nous fera changer le décor |
Les plus discrets sont souvent les plus forts |
Sous-estimés comme la sardine qui a bloqué le Vieux-Port |
Ici c’est Toulouse, Stadium, Marseille, Vélodrome |
KDD, FF, canicule aux mois d’automne |
31−13, j’rappe que des étincelles |
Tiens-toi bien, frère mais dis-moi qui peut faire plus sincère? |
Ils voient nos succès comme un bug dans la machine |
Chut car mon silence est d’or et de platine |
J’habite la ville de la violette où l’soleil adoucit |
Celle des millionaires en claquettes et des chômeurs en Gucci |
Le hip-hop me porte depuis qu’j’suis gosse |
C’est toujours pour les DJ, breakeurs, b-boys, graffeurs, beatbox |
J’rappais sous la douche, maintenant, j’prends des bains d’foule |
J’attends toujours qu’le destin m’fasse un signe de Jul |
Il n’rappent que les mêmes thèmes et ne font qu’d’l’entairtainment |
Au mic, j’les interpelle, qu’ils comprennent qu’j’les enterre clairement |
J’ai l’flow du Wu-Tang Clan, la musique, j’la saigne tellement |
J’l’aime vraiment, j’baigne dedans, cinq ans qu’j’traîne les mains pleines de |
sang |
L'âme en peine, la rengaine de ceux qui se plaignent |
J’entends l’appel d’un système qui nous freine et entraîne le manque |
Mate ma dégaine, ma belle vingtaine égrène le temps |
J’enchaîne les poèmes sur scène, j’m’entraîne sans paire de gants |
J’pose mes lignes comme si j’jouais à Tetris |
Tu l’sais pas mais j’t’inspire, jamais j’prendrai d’RTT |
À chaque début d’couplet, j’ai peur d’plus savoir écrire |
À chaque fin d’couplet, j’ai peur d’plus savoir m’arrêter |
Ah, ça va tourner dans les voitures |
Deux aliens, un Ovni, rendez-vous sur Saturne |
Ah, ça marche pour nous, pourvu qu'ça dure |
J’te vois bouger la tête, t’es dégoûté de dire qu'ça tue |
Ah, ça va tourner dans les voitures |
Deux aliens, un Ovni, rendez-vous sur Saturne |
Ah, ça marche pour nous, pourvu qu'ça dure |
J’te vois bouger la tête, t’es dégoûté de dire qu'ça tue |
Un peu d’amour dans c’monde cruel, j'étais au chantier bourré d’truelles |
Ou au quartier à faire l’truand, j’parlais aux vendeurs dans ma ruelle |
Moi j’te l’dis, Marseille, ça pue la mort, y a beaucoup d’jalousie |
Ça veut finir sur une belle île en mer comme Laurent Voulzy |
J’ai donné sans recevoir, ils savent pas combien j’ai mis dedans |
Et avant d’percer, les vrais savent combien j’ai mis d’temps |
Les ragots, les rumeurs, ça va, ça vient, c’est pas évident |
Ça s’demande si j’touche plus de sous que monsieur l’président |
Ça fait encore plus mal quand c'était tes potos de cœur |
Arrivés où ils veulent, ils t’oublient, j’les appelle les auto-stoppeurs |
J’aimerais partir loin, seul, crier fort comme un rockeur |
À force de fumer et d’boire en même temps, ils m’donnent des pointes au cœur |
J’ai la tête dans la lune, j’vous éclaire dans la nuit |
Toucher la famille, c’est l’moyen d’déclarer une guerre à vie |
Fallait avoir les crocs, j’ai tout fait l’sud en c&ing-car |
Des chichas vides, maintenant le Vélodrome, ça m’touche en plein cœur |
Ouais, j’préfère un frangin qui m’dit la vérité |
Plutôt qu’un frangin qui me ment alors qu’j’pensais qu’il méritait |
J’préfère lui qui reste dans son coin que lui qui s’la ramène |
À force d’traîner dans des bars à putes, tu peux t’prendre des coups d’barre à |
mine |
J’ai changé apparement, non, sauf que j’ai plus mon appartement |
Au quartier, j’y suis plus et quand j’y étais, j’faisais des débordements |
J’vis n’importe comment, j’me couche à pas d’heure |
Et à chaque fois qu’j’suis plus en baraude, j’croise des képis tous les quarts |
d’heure |
Y a la crapulerie qui tourne en stunt, cheveux longs ou dégradé |
Ça crie: «Nique ta mère l’brigadier «, le p’tit s’fait embrigader |
Ah, ça va tourner dans les voitures |
Deux aliens, un Ovni, rendez-vous sur Saturne |
Ah, ça marche pour nous, pourvu qu'ça dure |
J’te vois bouger la tête, t’es dégoûté de dire qu'ça tue |
Ah, ça va tourner dans les voitures |
Deux aliens, un Ovni, rendez-vous sur Saturne |
Ah, ça marche pour nous, pourvu qu'ça dure |
J’te vois bouger la tête, t’es dégoûté de dire qu'ça tue |
C’est Toulouse et Marseille, c’est l’anis et la violette |
Ça pèse, faut être honnête, de Seysses jusqu’aux Baumettes |
L’Ovni descend d’la comète-comète, déchiffre la pierre des Rosette |
Suisse est la Rolex, russe est la roulette |
Qui rappe encore, qui veut encore faire bouger les têtes? |
Qui décortique les rimes, qui se soucie de l’art des lettres? |
On vient d’partout, Algérie ou Argentine |
On peut adorer ses feuilles sans oublier ses racines |
Les Portugais, les Italiens, les Espagnols, les Marocains |
Halla halla, à la bien (À la bien, à la bien) |
Quantité, qualité, calumet, calmez-les |
Cannabis, canapé, maladie, mal-aimé |
Mon cœur est si froid, dis-moi qui m’a cambriolé |
Certainement pas toi, d’autres ont des cabriolets |
C’est depuis l’Amiga qu’on rappe, amigo |
Tu as reconnu? Sous la capuche, c’est Bigflo |
Pas d’la planète Mars mais comme eux, j’aime pas trop les clones |
J’arrive dans l’V.I.P. avec un tee-shirt Pokémon |
J’confonds pas argent et passion, bientôt on s’taille dans le vaisseau |
Les gens d’Paris passeront ce son, les gens du sud sont trop spéciaux |
La plus étrange des connexions pour les bizarres, les cas sociaux |
Pourquoi tu te poses la question? «Ils sont sincères ou commerciaux? «On se passera des suggestions, c’est nous les peintres, on a le pinceau |
Dans le bunker, dans le bastion, on se prépare comme des bestiaux |
Et si t’as tort, on a raison, on a toujours le bon ratio |
Tu vas te reprendre une ration, c’est la vengeance des provinciaux |
Ah, ça va tourner dans les voitures |
Deux aliens, un Ovni, rendez-vous sur Saturne |
Ah, ça marche pour nous, pourvu qu'ça dure |
J’te vois bouger la tête, t’es dégoûté de dire qu'ça tue |
Ah, ça va tourner dans les voitures |
Deux aliens, un Ovni, rendez-vous sur Saturne |
Ah, ça marche pour nous, pourvu qu'ça dure |
J’te vois bouger la tête, t’es dégoûté de dire qu'ça tue |
Fais gaffe quand tu guettes, peut y avoir des condés dans la colline |
Compte bien leur faire des folies, demande à Bigflo &Oli |