| Tu m’avais dit qu’on en aurait des cris d’amours
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| Des serments et des cris de joie
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| Tu m’avais dit que le silence
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| Ne viendrait jamais entre nous
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| Tu m’avais dit que j'étais ton ami, ton frère
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| Ton amant et ton amoureux
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| Tu m’avais dit: «C'est une chance
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| De s'être trouvé tous les deux»
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| C'était toi que j’attendais
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| C'était toi que j’espérais
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| Dans le matin clair de ma vie
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| Mais j’entendais des violons
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| J’aurais pu faire des chansons
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| De tout ce que tu m’avais dit
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| Tu m’avais dit les mots les plus purs, les plus tendres
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| Ce qu’on dit quand on est heureux
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| Tu m’avais dit que mon étoile
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| Brûlerait toujours dans tes yeux
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| Tu m’avais dit que tu voulais quelques semaines
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| Pour aller penser à nous deux
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| Tu m’avais dit que quand on s’aime
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| C’est bon de respirer un peu
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| Mais quand on s’en va trop loin
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| La moindre flamme s'éteint
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| Pour aller grandir n’importe où
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| Et loin des yeux, loin du cœur
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| Est tout sauf un mot menteur
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| Il nous a éloigné de nous
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| Quand tu m’as dit: «On n’pourra plus dormir ensemble»
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| Mais tu peux rester mon ami
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| J’ai su qu’il fallait que j’oublie
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| Toutes les choses que tu m’as dites |