Інформація про пісню На цій сторінці ви можете ознайомитися з текстом пісні Bad Trip, виконавця - Vald. Пісня з альбому NQNTMQMQMB, у жанрі Иностранный рэп и хип-хоп
Дата випуску: 04.08.2016
Вікові обмеження: 18+
Лейбл звукозапису: Mezoued
Мова пісні: Французька
Bad Trip |
A part si le pactole est alléchant |
Tu sais qu’on est pas méchant |
Signez-moi au lieu de signer des beurettes qui savent pas ter-chan |
Style peu raffiné, mes lyrics affinés |
J’ai envie d’sucré après l’salé donc j’mange à l’infini |
Pas connu les matins à Fouquet’s ça baise des tapins à Phuket |
J’faisais du chouara, tu f’sais du patin à roulettes |
Si elle pue éteint la zik' quand les (?) trouve le succès |
Mets-toi sur la pointe des pieds pour me sucer |
Cylindrique est un classique ! |
Chérie t’auras ma bite si j’t’aime |
J’fais d’l’argent facile comme les Magic System |
La montre à Sarkozy, barrettes et grosses tchoin |
Paraît qu’t’es trop loin… Bah putain restes-y ! |
Dès fois j’me vois en train de tékal de la feu-shnou |
Avec des liasses dans un coffre et un chat sur les genoux |
Toujours pas assez percé, Baz écoute ces versets |
J’suis le messie du rap, j’ai pas trouvé mon CR7 |
Ok c’est vrai qu’j’parle pas beaucoup, mais y’a qu’des garces autour |
Dur de vivre dans un monde dans lequel même les meufs ont mal aux couilles |
Et j’tisse une toile et envoie tous les connards faire du bateau-mouche |
Gaffe faites à vos moustaches car j’laisse un peu d’mes phases au four |
Et si j’suis has-been, envoyez-moi au casse-pipe |
Faire sauter du plastic, c’est mieux que d’sauter Astrid |
Classique, j’aime les films de cape et d’pédés |
M’enivrant avec du Pastis, j’suis pas assez près des |
Sales vautours, 'tasses au trou d’balle ouvert |
Labourée et tabouret dans l’boule, chérie viens pas m’dire qu’t’as pas souffert |
Et ça dit quoi dans c’monde de sadiques où tu salis ta bite facilement |
Où tu veux assassiner les gars qui t’mentent |
Un monde de barges et d’fêlés mais qu’espérait l'État? |
Générer l’taf sur une ardoise avec un Velleda |
Et j’ai pas tout compris à leurs conneries donc aidez-moi |
À resalir mon cerveau pour que tout redevienne fascinant |
J’veux être numéro 1 d’l’immobilier à Place Vendôme |
C’est perdu d’avance comme un clochard à l’hiver qui a pas d’manteau |
Y a pire que moi, ma mère n’est pas en tôle, j’suis pas né dans un orphelinat |
Observe ma vie, tu verras qu’j’suis comme mort au final |
Un corps sorti d’Koh-Lanta, loin des gos en boîte |
J’traîne encore en bas, la semaine j’vais flinguer Pôle Emploi |
Une gueule de mort, mes chances d'éviter les drames sont squelettiques |
Fuck les ragots collectifs, quitte à faire kiffer que les p’tits |
Aucune carte en main, j’traîne avec Yakin’s pas 8 américain |
L’impression que j’mérite rien que d'être fictif comme le méridien |
J’suis pas millionaire, encore moins l’ami au maire |
Oh merde, j’me rends compte j’suis qu’un Simpson qu’a la vie d’Homer |
Loin des tiek’s select, j’parle d’la rue comme les SDFs |
Les textes des vrais j’fais des cauchemars où la nuit j’achève mes rêves |
Pour réussir y a pas d’secrets, mais on m’dit: fais-ci, fais-ça |
J’suis festif le soir donc si tu sors vas-y fais signe Fayçal (?) |
Suffit qu’un string intrigant m’inspire un flippant sentiment d’emprise |
J’aspire à agir en machine Itachi agitant ma bite |
Mille racines t’enracinent dans c’badtrip la vie pas si fantastique |
Défilé d’insignes insignifiantes au moindre incident un film |
La vida loca XXXX Vodka Oasis XXX |
Sur boîte vocale j’topographie l’anomalie |
Des étoiles dans ses yeux quand j’fourre cet homo nazi |
Nympho à risques l’info arrive lâchée par un boloss facile |
Fils le zet est là pour qu’le smicard accepte sa condition |
C’est claque-chèques sans provisions, c’est parfait |
A la fois mec insurgé, la balade s’est incrustée |
Si t’as la soif d’un curé, file violer des parcmètres |
Sous prétexte que j’pense pareil qu’eux m’essuie mais j’suis qui (?) |
J’détruis l’beat avec le style |
Et je pénétre des XXX |
XXX et j’m’en veux |
Mais j’m’envole comme un feu-follet |
Mais j’aime que tu m’sois chère et qu’tu partes vite comme la beuh d’Aulnay |