| Bah, ouais, rebeu, joue pas les Pablo |
| Bah, ouais, renoi, joue pas les Pablo |
| Y’a des vrais rats qui ont les yeux sur ton bénéf |
| Bah ouais, rebeu, joue pas les Pablo |
| Tu vas tomber comme tout le monde si la bastos te pénètre |
| Ils disent que l’argent c’est que dalle |
| Que pour être pauvre faut crever la dalle |
| Ok, j’vous laisse en chien |
| Moi j’serai malheureux avec des millions d’euros, on m’attend |
| J’ai perdu mon temps dans les halls |
| Aimé la rue dans les bas, dans les hauts |
| J’redonnerai jamais d’la foce à ces salopes |
| J’préfère qu’on mette une balle dans l'épaule |
| Bande de zgeh, arrêtez les guerres |
| Faites de l’oseille, c’est tout c’que j’ai à dire |
| Si le sang coule, y’aura qu’Sheïtan pour vous applaudir |
| Tout le reste va vous maudire |
| Fais pas crédit, poto, j’t’ai dit |
| Futur millionaire |
| Soso, Mista, Mosko, Teddy, canalise mes nerfs |
| Tu veux des habits, tu veux des lovés, la vérité |
| Faut se faire seul |
| Tu veux être lui, tu veux être l’autre |
| Finalité, tu seras personne |
| Jugé par défaut, chassé par des fauves |
| J’connais personne qu’a aucun défaut |
| Faut battre le fer quand il est chaud |
| Faut battre le frère quand il est faux |
| Détailler, batailler pour grailler |
| Passer l’hiver au chaud et cailler sa mère |
| Y’a haja pour mailler, ouais, ça y est, on s’en bat les couilles de savoir où |
| ça mène |
| J’suis fahran quand le plus fort s’incline |
| J’connais la hass et c’que la rue t’inflige |
| Avant l'âge de 10 piges j’ai vu la haine dans les yeux des flics |
| Tout ce qu’ils éprouvent pour mes frères d’Afrique |
| Pablo, y’a des vrais rats qui ont les yeux sur ton bénéf |
| Bah ouais, rebeu, joue pas les Pablo |
| Tu vas tomber comme tout le monde si la bastos te pénètre |
| Bah, ouais, renoi, joue pas les Pablo |
| Y’a des vrais rats qui ont les yeux sur ton bénéf |
| Bah ouais, rebeu, joue pas les Pablo |
| Tu vas tomber comme tout le monde si la bastos te pénètre |
| On a rempli des cahiers, des cahiers |
| Dormi dans des cages d’escalier |
| Détaillé du shit pour s’habiller et grailler |
| Faire du biff sans jamais brailler |
| Sur tous les toits, l’avenir nous file entre les doigts |
| Depuis tit-peu, contre les lois |
| Ils font trop les hommes, ils vont contrôler quoi |
| Des fois j’me demande ils ont consommé quoi |
| Des comme moi, y’en aura pas deux |
| J’apprendrais tout ce qu’on m’a pas dit |
| Sur les tetrais, les vices à balles deux |
| Ils les emporteront pas au paradis |
| Ils voulaient pas d’mes sons hardcore |
| J’ai fini par leur introduire |
| Tu connais la suite, j’suis dans la cuisine |
| Pour eux c’est trop tard, les carottes sont cuites |
| J’ai perdu ma route, j’ai perdu mes kheys |
| J’ai perdu mon biff dans des courses poursuites |
| 2.80 sur l’autoroute du crime |
| J’peux pas nier mes écarts de conduite |
| Fou depuis l’collège demande à Fethi |
| Plus j’grandis et plus j’ai l’appétit |
| Combien d’journées niquées à Kennedy DD |
| Coty a traumatisé la PJ, ouais |
| Et ouais, renoi, joue pas les Pablo |
| Et, ouais, rebeu, joue pas les Pablo |
| Y’a des vrais rats qui ont les yeux sur ton bénéf |
| Beh, ouais, rebeu, joue pas les Pablo |