| Il est très timide, avec ses copains
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| Mais avec les filles, il ne craint plus rien
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| Chaque fois qu’on danse, il nous snob un peu
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| Et dans ses bras, oui dans ses bras
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| Il nous tient des propos, comme ça
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| Ne sois pas si bête, bête, bête
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| Serre-moi plus fort, et plus fort encore
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| Ne t’en fais pas, ne crains rien de moi
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| Car tu es encore une petite fille pour moi
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| Il nous raccompagne, jusqu'à notre porte
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| Sans nous embrasser, le Diable l’emporte
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| C’est presqu’une offense, c’est un drôle de jeu
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| Quand dans ses bras, oui dans ses bras
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| Il nous tient des propos, comme ça
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| Ne sois pas si bête, bête, bête
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| Serre-moi plus fort, et plus fort encore
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| Ne t’en fais pas, ne crains rien de moi
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| Car tu es encore une petite fille pour moi
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| Il croyait vraiment qu’il était le plus malin
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| Mais heureusement, il n’en était rien
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| Un soir de vacances, qu’il m’accompagnait
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| Moi je l’ai pris, oui dans mes bras
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| En lui disant Chéri, crois-moi
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| Ne sois pas si bête, bête, bête
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| Serre-moi plus fort, et plus fort encore
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| Ne t’en fais pas, ne crains rien de moi
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| Car tu es encore une petite garçon pour moi
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| Voyant qu’il était trop bête, bête, bête
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| Il m’a embrassé
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| Encore embrassé et depuis c’est lui qui est mené
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| Mené par le bout du nez |