Je préfère me battre
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Plutôt que de jeter l'éponge face à l’adversaire
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T’as pris plus de balles
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Que de bougies sur ton gâteau d’anniversaire
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Laissez, laissez-moi rugir
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Laissez, laissez-moi rugir comme un lion
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Laissez, laissez-moi rugir
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Laissez, laissez-moi rugir comme un lion
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Le Monde est en train de changer, le flow a changé
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Les négros doivent se mettre à table pour apprendre à manger
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L’Afrique est dans la tourmente, le Monde Arabe s’est révolté
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Tribal comme Kadhafi torturé par les services secrets
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J’fais rien dans l'à peu près, précis comme une arme de poing
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Larme de sang dans un coin d’rue, un T-Max qui s’en va au loin
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Photographie prise par la Crim' dans le centre-ville
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Trucs de ouf pour du bif, mes ghettoyouths ont le ventre vide
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Rap missile dans le Beats-by-Dre, j’me rapproche des étoiles
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Je marche sur la Lune en arrière
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Sombrer dans la poudreuse sur une nébuleuse de flocons
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Les keufs au cul focus sur tes ballons d’k-skun
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À l’autre bout du Monde, certains fuient leur pays en guerre
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Les dictateurs et leur folie emmènent tout l’monde en Enfer
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Regard évasif j’rêve de prolonger l’extase
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Confession de mes secrets les plus noirs sur une grosse basse
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Je préfère me battre
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Plutôt que de jeter l'éponge face à l’adversaire
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T’as pris plus de balles
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Que de bougies sur ton gâteau d’anniversaire
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Laissez, laissez-moi rugir
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Laissez, laissez-moi rugir comme un lion
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Laissez, laissez-moi rugir
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Laissez, laissez-moi rugir comme un lion
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N’empêchez pas le lion de rugir
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En chette-ca t’as appuyé sur la chette-gâ pour survivre
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Endurci comme ce boy de Kingston, Jamaica
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Macaque piégé dans ton marécage
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Écoute encore du jazz, du Franco, du 'Fella
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C’est l'âge qui me rapproche de la sagesse à Mandela
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Le nucléaire a dépassé les hommes jusqu'à Tokyo
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Et c’est l'État qui nous ment comme Pinocchio
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La vie n’est pas la même pour tout l’monde
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Chacun son bled, chacun sa religion, One God
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Chacun sa Nation, son armement
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Son PIB et sa violence, sa propagande
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Milliardaires au-dessus du pouvoir
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Société secrète éliminée, nouvel ordre mondial
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Je n’rappe que pour les vrais, urbaines sont mes chroniques
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Moi dans la street je porte mes couilles comme un brolic
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Comprende?
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Je préfère me battre
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Plutôt que de jeter l'éponge face à l’adversaire
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T’as pris plus de balles
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Que de bougies sur ton gâteau d’anniversaire
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Laissez, laissez-moi rugir
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Laissez, laissez-moi rugir comme un lion
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Laissez, laissez-moi rugir
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Laissez, laissez-moi rugir comme un lion |