| Comme j’ai plus d’un tour, toutes ces putains courent |
| Tellement d’flow alors que j’ai juste bu un coup |
| J’bé-flam trop, j’dépose que du violet sur un boule |
| J’bé-flam trop, j’ai le démon, j’en prends trop, j’fais deux tées-mon |
| En même temps, j’suis dans deux des mondes, la tête entre deux tétons |
| Toujours un œil sur les comptes, toujours une main sur les couilles |
| Les vrais refrès, on les compte, et les autres comptent mes couilles |
| Plus de selfie, plus de temps, j’peux pas rouiller sur le banc |
| Quand j’sais pas, j’dis «sûrement». «Votons Macron»: sûrement ! |
| T’es comme Van Damme sur le ring, tu fais l’grand écart sur demande |
| J’aime ça, que tu sois soumis, j’aime ça, qu’tu sois sur le ventre |
| Plus de sourires, plus de ventes, plus de groupies, plus de champ' |
| Plus de goupilles, plus de tanks, plus de roupies, plus de sang |
| J’en veux pas trop, justement, tu peux m’sucer juste le gland |
| Instinctivement, j’brûle le chanvre, ça étouffe les hurlements (ah) |
| Des experts en magie noire essaient d’arrêter mes balles |
| J’trouve tout à O’Parinor, nique sa mère Châtelet-Les Halles |
| Gros, j’ai péta ton briquet pour ter-cla un céréale |
| Si ta vie est compliquée, c’est qu’une putain cérébrale |
| Nique sa grand-mère le score, tant qu’j’fais plus, ça m’est égal |
| Nique sa grand-mère le sport, tant qu’j’les baise et qu’j’les régale |
| Nique ta grand-mère de force si tu jactes comme une pédale |
| Jamais l’bon nombre de pétales, toujours l’bon nombre de pétards |