| Seul dans ta sère-mi, seul dans tes ennuis, seul dans tes habits, |
| tes amis des zombies |
| Souvent dans les coins les plus pétés de Paris centre à patauger dans l’froid |
| puis papoter tout simplement du permis |
| Les jours se répètent en gros y’a rien d’fantastique, le sourire aux lèvres |
| juste quand ça parle de tass-pé |
| JB, Coca, Heineken, teille-bou de Déspé, p’tit t’as 16 piges wow t’es de-spee ! |
| J’aime pas la rue c’est elle qui m’aime elle me fait mal, un arrêt de bus est |
| tatoué sur mon omoplate; |
| J’ai l’impression de tomber de haut et de faire un plat, la rue nous baise à |
| tour de rôle elle est surement polygame |
| Faut raisonner, faudrait que tu rentres à la son-mai |
| Mais toi tu préfères la rue, juste pour devenir un peu comme le ke-me qui |
| chante «All Eyes on me» |
| T’as déserté la raque-ba, maintenant tu parles de cage-bra, tu t’diriges vers |
| le car-pla, ses douches et ses clé d’bras |
| Ca s’excite puis s’insulte pour des stup, j’crois qu’il est grand temps |
| d’déboucher la street au Destop, STOP ! |
| Tu perds ton temps et tout c’qui est stup toi t’opères dedans |
| GIMS, tu vas perdre tes dents, mais nan t’inquiète, j’ai ma paire de gants |
| Le jour se lève et toi tu sors sans savoir ou aller |
| Mais peu importe du moment que t’as ton shit a inhaler |
| Maintenant tu deviens grand, la rue t’va comme un gant |
| Tu tournes en rond puis perds ton temps a boire, fumer toute la night (night |
| night) |
| Les mêmes questions sans réponses concernant ton mode de vie |
| Chauffer le banc des quartiers devient vite une vraie devise |
| En plus tu deviens grand, la rue t’va comme un gant |
| Mais tout cela suffit, car ça nous fait souffrir de te voir gâcher toute ta life |
| T’es la tu dis quoi quoi «ça m’casse les couilles» |
| Tu préfères le Darfour où ils s’ramassent des douilles? |
| Maska s’débrouille |
| Pendant qu’tu vends ton shit toi a tes khouyaa |
| Toi tu d’viens un violeur toi il ta bouyave |
| Sur l’ter ter t’es la toi tu dors debout là… |
| La perte de temps d'étrangle pendant que tu grandis |
| Vendre du shit à 60 ans dis-moi qu’est-ce t’en dis? |
| La rue t’a pé-trom t’as cru qu’elle t’aimait grave |
| Quand tu s’ra en chien c’est pas elle qui t’aidera ! |
| Pour toi c’est un lit elle t'étouffe dans ses draps |
| La routine a l’sida toi tu t’jettes dans ses bras ! |
| La galère, la colère, les commères, les connards |
| «Les p’tits salaires ça sert a rien, bibi c’est mieux donc nique sa mère» |
| 15h, t’es là, 16h, t’es là, «Mais bouge de là !» c’est c’que ces bâtards disent |
| Toi tu fous rien à par tiser des packs et des packs de Bacardi |
| Le jour se lève et toi tu sors sans savoir ou aller |
| Mais peu importe du moment que t’as ton shit a inhaler |
| Maintenant tu deviens grand, la rue t’va comme un gant |
| Tu tournes en rond puis perds ton temps a boire, fumer toute la night (night |
| night) |
| Les mêmes questions sans réponses concernant ton mode de vie |
| Chauffer le banc des quartiers devient vite une vraie devise |
| En plus tu deviens grand, la rue t’va comme un gant |
| Mais tout cela suffit, car ça nous fait souffrir de te voir gâcher toute ta life |
| Akhi, est-ce que tu te vois galérer toute ta vie dans Beriz |
| A galoper après le khalis |
| T’en oublies même de lire tes Hadîths |
| Wesh, qu’est-ce, qu'est-ce qui t’arrive? |
| Moi elle m’a foutu dans une belle merde |
| Mon fils aura surement une belle mère |
| Reveillez-moi p’t'être j’rêve |
| Et si t’as un p’tit pét' j’reste |
| Chouf, c’est pour les mec de tieq’s de tess (hé) |
| Qui savent c’qui faut adorer c’qui faut détester (hum!) |
| Putain de remise en question |
| Toujours la routine avec ou sans ma Sexion (hum!) |
| Me compare pas à eux non c’est pas pareil |
| Il y a même des tafs ou j’y vais pas par paresse |
| C’qui m’fait flipper c’est que pa pa Paris canne |
| Dans c’bas monde monde tu ne verras pas d’part égale |
| Ici c’est la hass hélas |
| Ce que j’ai mal face à la routine du SDF |
| Mach’Allah la daronne elle s’démerde |
| Pendant qu’toi t’es là au tiequ’s à la place des murs (ouais) |
| Comme toute drogue la routine a son effet secondaire |
| La haine de mes soldats contenue dans un container |
| Comme toute drogue la routine a son effet secondaire |
| Je sais de quoi j’te parle, j’connais bien ces sales soirées khabat toute la |
| night |
| Le jour se lève et toi tu sors sans savoir ou aller |
| Mais peu importe du moment que t’as ton shit a inhaler |
| Maintenant tu deviens grand, la rue t’va comme un gant |
| Tu tournes en rond puis perds ton temps a boire, fumer toute la night (night |
| night) |
| Les mêmes questions sans réponses concernant ton mode de vie |
| Chauffer le banc des quartiers devient vite une vraie devise |
| En plus tu deviens grand, la rue t’va comme un gant |
| Mais tout cela suffit, car ça nous fait souffrir de te voir gâcher toute ta life |
| Au tié-quar tout ton temps s'échappe, ça fait 10 piges que t’as pas changé |
| d’sappes |
| Tu vis les mêmes choses chaque jour, répéter les mêmes geste c’est à ça que tu |
| joues |
| Au tié-quar tout ton temps s'échappe, ça fait 10 piges que t’as pas changé |
| d’sappes |
| Tu vis les mêmes choses chaque jour, répéter les mêmes geste c’est à ça que tu |
| joues |
| Au tié-quar tout ton temps s'échappe, ça fait 10 piges que t’as pas changé |
| d’sappes |
| Tu vis les mêmes choses chaque jour, répéter les mêmes geste c’est à ça que tu |
| joues |
| Au tié-quar tout ton temps s'échappe, ça fait 10 piges que t’as pas changé |
| d’sappes |
| Tu vis les mêmes choses chaque jour, répéter les mêmes geste c’est à ça que tu |
| joues |