Інформація про пісню На цій сторінці ви можете ознайомитися з текстом пісні #FOUINYFLOW, виконавця - La Fouine. Пісня з альбому Bénédictions, у жанрі Иностранный рэп и хип-хоп
Дата випуску: 22.01.2020
Вікові обмеження: 18+
Лейбл звукозапису: Banlieue Sale
Мова пісні: Французька
#FOUINYFLOW |
Yah ! Yah ! |
Eh yo FlowFlyzi |
Yah ! |
J’connais pas l’rap français gros mais l’rap français me connait bien |
Dis au physio' d’fermer l’entrée, l’carré VIP, c’est pour les miens |
Et ça rentre chez Goyard, Valentino, prends tout c’que tu veux |
Pendant qu’les riches brûlent leur argent, les pauvres meurent à petit feu |
Moi, c’est Gucci, Louis, Fouiny, sept-huit, Veni Vidi Vici |
Aveuglement, poignet, Rolly, la gow me dit hola papi |
La gow me dit hola papi, j’crois qu’elle tapine |
L’rap au tapis, l’moitié truqué, hmm #BernardTapie |
Toute la journée, j’fais du blé, j’ai v’là les pains |
Millionnaire, pour percer j’ai pas eu à serrer toutes ces mains |
Toi, t’as léché tous ces culs, bizarrement ta bouche sent le mien |
Les clients, c’est comme les tchoins, tu veux qu’ils reviennent, serres-les bien |
T’as prié, t’as fais des douaas pour qu’j’revienne avec ce flow |
C’est Fouiny Babe, ça fait du rap, j’te laisse le zouk, le n’dombolo |
Bouffer clito', un poquito, souvenirs igo dans ma Clio |
J’rêvais de kilos, venez pas me soulever si tôt hmm #Despacito (hahah) |
J’traîne pas avec ces balances, ils font pas l’poids comme une anorexique sur |
une balance |
J’appelle banquier, cent-mille en p’tites coupures pour les vacances |
C’est bizarre mais pour prendre par derrière, il se fait des avances |
Y a pas d’gangsters sur les réseaux sociaux, seulement des gars qu’ont du réseau |
Connaît igo, ils ouvrent leurs bouches quand les condés viennent les ter-sau |
Grosse différence entre Fouiny Baby et puis tous ces rappeurs |
Ils veulent rentrer sur les playlists, moi, j’veux rentrer dans tous les cœurs |
Méfies-toi des petits, l’argent monte à la tête |
Hier, tu lui donnais du feu, il t’poucave pour une cigarette |
Ça fait l’malin maintenant, avant j’t’aurais racketté dans l’train |
Couplet fini j’laisse place au refrain, j’ai menti |
Haut les mains, oh l’bâtard, ohh mehlich, au final, on les baise |
Fous la corde au cou du peu-ra, pendant qu’j’fasse tomber la chaise |
J’ai des étoiles plein les yeux, plein-plafond de ma voiture |
J’achète c’que j’veux, mon biff à la banque me fait d’la progéniture |
À l'époque, le rap c'était braqueur, arnaqueur, receleur |
Aujourd’hui, c’est instagrameur, snapchateur et youtubeur |
À Marseille, j'écoute les anciens, 3e Œil et Don Choa |
Aujourd’hui, le game il parle chinois, #Konichiwa |
Arrête de sniffer khoya car tu vas vite être sur la paille |
Mates ces bijous à mon cou, j’ai froid, même en été je caille |
J’suis qu’un putain d’arabe de plus, sur écoute, j’ai cassé ma puce |
L’alcool, c’est de l’eau et de l’eau c’est un cunnilingus |
Vrais reconnaissent vrais, pour ça que w’Allah, je n’sais pas qui vous êtes |
Vous r’tournez tellement vos vestes que vous n’savez pas qui vous êtes |
J'écris c’putain d’couplet dans Lambo', dégagez s’il vous plaît |
J’mets le contact, c’est pire qu’un AMG, écoutes |