Інформація про пісню На цій сторінці ви можете ознайомитися з текстом пісні Keyzer Söze, виконавця - JUL.
Дата випуску: 19.03.2023
Вікові обмеження: 18+
Мова пісні: Французька
Keyzer Söze |
J’suis côté conducteur, j’suis d’la où y’a des faits divers\nArtiste et producteur, j’attire en masse d’auditeurs\nJ’veux m’fondre dans la masse, tu m’verras jamais en Audi vert\nPerdre un poto que t’aimes bien ça casse le cœur comme un divorce\nJ’lache rien, j’suis motivé, j’ai l’mode rage activé\nSi j’en suis où j’en suis, c’est qu’c’est pas un accident\nJoue pas les Toto, fais pas d’mal à Tata\nDonne pas le go, ça va faire ra-ta-ta-ta\nDans ma tête ça tourne pas rond\nIci on descend tous cagoulés dans Marseille pendant OM-Paris\nOn pète les fumigènes sur le scooteur, on fume il gèle\nÇ'fait des poursuites, ç'finit aux geôles\nTu ressors d’là bas, on est plus nichen\nJ’fais mon chemin solo, nique c’qui m’ont salit, nique c’qui parlent dans mon\ndos\nJ’sais qu’devant moi ils s’alignent, on s’reparle si tu veux\nMais crois pas qu’on s’allie\nParce que j’oublie pas quand tu m’a laissé seul comme un petite salope\nJ’suis pas comme les gens, j’ai ma mentale à moi\nEt ouais moi j’oublie pas moi quand on me tend la main\nElle sait qu’je l’aime, et qu’c’est jusqu'à la mort\nJ’pense à faire mon album, elle m’dit qu’elle a besoin d’amour\nJ’dors pas la nuit, j’regarde la lune sur l’autoroute\nJ’reste droit avec les gens, j’veux pas m’en prendre une dans l’thorax\nUn jour faudra qu’tu prennes par les cornes le taureau\nParce qu’ici tu peux très vite passer de pas win à max\nSans passer par Winamax, hein\nQuand j’lève, j’dis à la gratte «pas buché sur le T-Max»\nUne instru et un Schweppes, tu connais lacrizeomic\nÇa m’rappelle à la pente, quand en chien il faisais fumer la wax\nJ’oublie pas où j’ai grandi mais bon j’suis un peu dégouté\nÇa s’serait pas passé comme ça si on m’avait un peu écouté\nBon l'équipe, j’vais rentrer\nIl m’reste un fond d’la bouteille\nQu’est-ce que t’as? Tu fais l’gros avec les gens comme si petit on t’avais pris\nton goûter\nAh j’déraille, j’ai un poids sur mon dos comme si je gérais un terrain\nPour coffrer tout mon taff, j’ai pris un disque dur 18 tera\nDis-leur qu’j’vais avancer même avec des clous sous les roues\nJ’suis pas l’seul à avoir des soucis, des regrets, des remords\nSi t’es mon pote allège moi, là j’te sens comme une remorque\nRien qu’tu fais des remarques (rien qu’tu fais des remarques)\nEt quand quelqu’un réussit, t’es là que tu te moques\nEt ceux qui ont fait les salopes, t’inquiète Il voit tout là haut\nPoto, moi j’viens d’là où y’a des Rafael Leão, des Renato Vallanzasca\nTu connais, Ju-Ju-Jul, Cœur Blanc couleur Alaska\nFaut pas balance Gui\nReste vrai avec moi, porte pas de masque\nFaut qu’j’me taille au ski\nOu au coffee à Hospi', que j’prenne un peu d’inspi, inspi\nFaut pas finir comme Britney Spears\nRoute du Nord sur la L2, on prend Karim, on passe à l’alim\nJ’ai la chapka sur la tête, j’ai encore rien mit dans ma narine\nQue j’croise les Bleus Marines, là j’passe vers la Marine Bleue\nPersonne peut m’arrêter, moi c’est l’OM comme Harit\nTu croyais qu’j'étais mort, parce que tu m’voyais plus sur l’net\nTu croyais qu’j’avais pris un coup parce que j’m’mettais un peu sur le té-c\nJ’ai traîné, j’ai djobbé, mais jamais j’ai gobbé\nR à faire tu connais, je m’enfume comme un drogué\nJ’pense aux gens qui m’ont pas voulu du bien, du bien\nJ’ai la flemme d’sortir, on m’dit «Tu viens? «, «Tu viens? «J'ai trop d’poids sur mes épaule\nComme un patron de réseau j’suis parano à mort\nJ’suis pastiché, même quand j’sors de la maison\nJ’reste seul, j’me renferme, c’est peut-être qu’j’ai mes raisons\nMes problèmes je résous, obligé d’mettre d’côté l’son\nEn côté passager le siège me masse\nLà j’passe par Frais-Vallon, c’est pas les Bahamas\nBraquage, charbon, prises en chasse, guetteur assis sur la chaise\nNique ceux qui t’mettent dans la sauce, nique ceux qui veulent t’mettre dans la\nC’est pas tes soss, c’est pas tes soss (c'est pas tes soss)\nJ’préfère qu’on m’calcule pas, ça m’donne plus envie d’parler\nJ’aime pas ceux qui assument pas et ceux qui pourraient sortir l’tard-pé,\njuste pour se montrer\nUne envie d’les tarter, font pas les voyous partout, qu’avec les faibles du\nquartier\nLà j’passe par le secteur, j’dis merci bon Dieu, j’suis plus là\nToujours sous fumette-pillave, mais j’respecte les gens niya\nT’as vu Ju-jul, c’est la frappe c’est un peu comme la beldia\nJ’suis rentré dans l’game armé jusqu’au dents comme les frères Diaz\nRa-ta-ta-ta-ta, Buenos Dias\nMarseillais, j’danse le Mia avec fratello mio\nLe buzz, l’argent, les blèmes, Dieu merci j’ai pas serré\nJ’dis juste c’que j’vois, c’qui passe, j’ai pas besoin d’voir des séries\nIci c’est triste et réel, ça a raffalé un four hier\nÇa rode ça veut l’king, coup d’pied dans la fourmillère\nIls veulent ma vie ces faux culs, savoir combien j’ai pris hier\nPendant qu’moi solo j’demande à Dieu de belles choses dans mes prières\nNe m'énerves pas, j’ai pas crier\nLâche pas tes potes pour une groupie\nJ’ai traîné, j’ai zoné, j’ai vu des civils accroupis dans les buissons en\npleine mission\nLes frissons, ces fils de, ils veulent le hazi\nTu vois vraiment qui est là quand l’ennemi fait parler la poudre\nTu vois vraiment qui est là quand en face ça veut en découdre\nCoup de poing, coup de batte\nMaintenant c’est fini CZ, ça te cloue le bec, tu vas faire le moonwalk\nMaman m’a appris qu’entre frères on s’baise pas\nEntre frères on blesse pas, entre frères on s’laisse pas\nFais pas l’fou, ça pète, prend pas pour ta pute\nQu’est ce qu’elle a ma tête?\nElle a trop faim, t’as vu comment elle m’a pisté sa pote\nNique sa mère comment j’suis sappé, j’nique tout, ils m’lèchent les shoes après\nTu fais la mala en boîte, t’y as pas un cadeau à ton fils sous l’sapin\nC'était un gentil avant, il s’est mit dans le milieux deux ans plus tard\nJ’en connais ils aime tellement les armes qu’ils font des gâtés à leurs guitares\nKépis, j’fais demi-tour\nJ’ai trop fumé, il m’reste un peu\nJ’me sens pas le contrôle, en plus la loc' j’ai pas l’contrat\nTu m’as aidé, j’dis pas l’contraire, et j’t’en suis très reconnaissant\nJ’te jure j’ai pas compris quand toi tu m’la rendus en m’laissant\nIl fait froid mais j’descends faire un tour avec les sangs\nJ’suis fier de moi, même ma grand-mère elle reconnaît mes sons\nPasse à toi qu’a pas l’moral, à la plaque ça chauffe la cellule\nDevant la juge c’est pas des lol, t’aimerais voler comme une libellule\nIls mettent tes affaires sous sellés, ici c’est Beaumettes, c’est Luynes\nC’est l’ponté, central d’Arles, Tarascon\nLes mineurs a l’EPM\nDehors c’est braquo, cambu, wheeling en KTM\nÇa shine pour passer du stunt au BM, hein, du stunt au BM\n1.3., Marseille City, des fois j’suis un peu sucha\nÇa tire comme dans Call of Duty, tu vas traîner des résidus\nEn noir, comme des ninjas, laisses moi loin des médias\nÇa va, j’en connais deux ou trois qui sont là dans l’immédiat\nJ’viens d’ailleurs comme E.T., j’ai fait du rap mon métier\nJ’ai créé un style qui s’est propagé un peu comme les produits laitiers\nWesh, papi-papi, nage pas où t’as pas pied\nJ’vois en grand comme Tapie, j’suis là pour vous épater\nJ’connais la rue, les pim-pom, les pan-pan\nRunner 180, deux-temps\nJ’connais des gens dans l’charbon et ils sont bloqués dedans\nÇa perd des potes, ça s’en fait des nouveaux et ça s'éteint, et ça s'étend\nFais gaffe à qui tu parles car dans la street on sait tout\n(Parles car dans la street on sait tout)\nCar dans la street on sait tout\nTu fais pleurer des gens, tu vas pleurer dans l’ghetto\nTu fais du bien aux gens, t’auras du bien t’inquiètes pas\nTu respectes les gens, on t’respectera dans l’ghetto\nTu veux être craint des gens, ça dure pas, t’embête pas\nJ’ai des R.D.V., j’me lève pas, j’suis trop calé dans mon lit\nJ’fais la guerre à la Sandra Paoli (la guerre à la Sandra Paoli) |