Інформація про пісню На цій сторінці ви можете ознайомитися з текстом пісні Hlm3, виконавця - Lunatic.
Дата випуску: 29.03.2015
Мова пісні: Французька
Hlm3 |
Qu'ça soit clair |
Si j’rappe c’est 1 pour la rue 2 et 3 pour la maille, frère |
T’attends pas à m’voir faire le pantin sur scène laisse ça aux putains |
Avance de façon obscène du matin jusqu’au soir, 9 zedou Hauts d’Seine |
Traîne dans mes Stan Smith blanches |
Avec les rabzas reunois d’ma branche, marche en silence |
Toujours à penser, peu d’argent donc peu d’dépenses |
Quand tu comprends ça, pour eux c’est niqué |
J’amène ma stricte réalité, d’Issy décor mon secteur |
Jusqu'à ton ghetto blaster, ton poste récepteur |
J’te rappelle juste qu’j’aime pas les flics, qu’j’aime pas les blonds borgnes |
Qu’j’aime pas les matons, attends j’en place un pour les frères au bagne |
Donc j’te disais j’aime pas les sourires trop aiguisés |
Qu’j’aime pas les juges, les procureurs leur jeu truqué depuis l'Élysée |
Analyse mes textes, canalise mes nerfs |
Maintien positive mon énergie |
Booba mon double ou moi l’sien |
Et la force se multiplie |
J’kiffe les bizness illégaux, la sape, les caisses et les gos |
Smoker des gros bouts d’shit après j’ai l’groove grave |
Bédave, sexe, pillave sec dans mon clan |
C.L.A.N j’peux pas faire mieux qu’mon rap de banlieue |
J’rappe comme j’cause, haine à grosse dose |
La rage comme guide et c’est pour ça qu’j’parle toujours des mêmes choses |
Tchatche de la zone, prône la guerre aux autres hommes |
Ceux qui parlent trop mal, chope et hop sous l’trom' |
J’aime la grande vie |
C’est la merde, mais j’l’aime car c’est la mienne, y’a pas de bonheur sans |
problèmes |
Réveil impulsif, j’roule un spliff de skunk |
Et j’kick sur un beat de funk |
Pas de lyrics de fils de pute |
Insolent même sur mes bulletins, cousin, j’suis l’bitume avec une plume |
Faut qu’j’passe au plan B |
Veulent diviser mon peuple en deux, l’an 2, j’attends ça depuis le landeau |
A.L.I, celui qu’on aime ou qu’on haït |
Un jour j’te souris, un jour j’te crève, L.U.N.A.T.I |
C., oublie tous les ragots et chichis |
D’pédales, si tu veux doubler, taffe dur mais avant réfléchis |
Tu veux rapper pour quoi et pour qui? |
La gloire, le cash, le sexe, tout c’qui en suit? |
Pour ça tu donnerais ta vie, hein? |
A mon avis, petit avant d’penser à ça, garde tes manies |
Reste simple, surtout, observe comment s’maîtrise et s’manie |
La rime, réanime |
Le rap juste pour ceux qui le croyaient mort |
Au passage place une casse-dédi à mon propre sang Omar et Mehdi |
C’est la patate quand y a plus d’chattes, que l’effet du shit chute |
Quand tu dois faire un que-tru, qu’tes potes se chient d’ssus |
Déçu des embrouilles on connaît l’issue |
Des gouttes de sang, et pas d’francs malheureusement |
En temps d’guerre j’suis à la caserne |
J’ai envie d’ken, j’ai la force comme Anakin, j’opère au laser |
Oh la sère-mi |
Mes frères pensent qu'à s’suriner, à dépenser jusqu'à s’ruiner |
Réunis, die au Justerini |
Trop d’timiniks quand les victimes nient |
Qu’ils sucent ma bite, j’suis mi-homme mi-bête |
Mis au courant par l’beat ça paye dès minuit |
Et si ma haine diminue |
C’est qu’les porcs sont morts et qui m’reste plus qu’dix minutes |
Dans c’monde de putes, j’ai du mal à fixer ma vie |
Si j’t’ai baisé viens pas m’dire qu’c’est ma fille |
Ça tourne et la chance part |
J’rêve que d’barres et d’B.M, j’suis un d’ces mômes qu’on recense pas |
Aux normes difformes |
Critique dans l’idyllique c’est pas c’que disent leurs femmes, surprenant comme |
un Hindou qui deale |
Peser son poids en C.C. s’arracher d’cette ville |
C’est la tate-pa même en l’an 2000 |
Nos vies la même saga pour ceux qui prennent l’hégire pour repère |
À chacun ses empreintes, mais sur la même sphère |
Mon clan feinte, l’ennemi toujours aux aguets |
Envie et jalousie de ta ville jusqu'à la mienne |
Nargué par les flics et pire par les faux frères |
De ceux qui portent l'œil, pour eux j’suis navré |
Mais j’lâcherai mon argot |
Tant que le Très-Haut nous le permet. Paix aux |
Vrais frères Malekal Morte, Lunatic en fusion |
Pour nos existences trop souvent la même conclusion |
On perd le jeu et le nord |
Ici c’est soit ils nous niquent soit on s’nique, lance ton regard dehors |
C’est A.L.I., A pour l’Afrique |
L pour ma Loi suprême représentée par le I |
Islam, à ceux qui nous comprennent Salam, j’représente l’homme et sa couleur |
Comprend que notre douleur devienne colère, quand l'État nous diabolise comme à |
Salem |
Donc honneur, hommage aux têtes, noires, marrons et beiges |
Cortège abreuvé par la terre mère |
A.L.I. BOOBA du Nil au fleuve Niger |
Mon son récité par les voix des HLM, j’crois |
Ceux qui traitent les meufs de chiennes et veulent des M3 |
On a pas les mêmes droits, donc j’lève mon 3ème doigt |
Et j’viens reprendre mon dû, perdu dans c’monde |
Mon son récité par les voix des HLM, j’crois |
Ceux qui traitent les meufs de chiennes et veulent des M3 |
On a pas les mêmes droits, donc j’lève mon 3ème doigt |
Et j’viens reprendre mon dû, perdu dans c’monde |
Mon son récité par les voix des HLM, j’crois |
Ceux qui traitent les meufs de chiennes et veulent des M3 |
On a pas les mêmes droits, donc j’lève mon 3ème doigt |
Et j’viens reprendre mon dû, perdu dans c’monde |
Mon son récité par les voix des HLM, j’crois |
Ceux qui traitent les meufs de chiennes et veulent des M3 |
On a pas les mêmes droits, donc j’lève mon 3ème doigt |
Et j’viens reprendre mon dû, perdu dans c’monde |