J'écrase mes TN, défaits sont mes lacets
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Dans mon équipe, on accepte pas la défaite
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On va de l’avant, j’laisserai personne à l’arrêt
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Ils connaissent pas le carré, ils diront que t’es un traître
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Au milieu de bâtiments, on a traîné
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On allait au foot, on faisait grave chier l’entraîneur
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Mon gars, tu t’es trompé, j’connais la caille à l’odeur
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Si j’avais coffré l’argent d’mamie, à chaque année, j’serai grave che-ri
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Tout s’monnaie, rien n’est gratuit, frère
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Quand ça chiffre, nous, on y va fort
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Succès attire ennuies, l’temps passe et brise les mauvaises amitiés
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J’reste avec les mêmes jusqu'à la END
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Il m’faut du biff donc j’ai volé des tonnes
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Sur le rrain-te, j’suis toujours en attaque
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En bas du bloc, on se bat pour le guap', guap', guap'
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J’ai dû acheter un brolique
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Pour ma miff, je donne tout
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Dis-moi pourquoi ils paniquent quand j’demande «ça vient d’où ?»
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Les p’tits lèvent comme à Philly
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J’suis meilleur dans mes feelings
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À chaque compét', j’remporte la coupe
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C’est busy, c’est busy, c’est busy
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Je voudrais la chaîne de chez grizzly
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Casser le gros cul à cette chienne de Nicki
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Tasser des billets vers les coups de minuit
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Tant qu’on y est demain y’a planque
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On t’a frappé appelle ton grand
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T’es qu’une merde comme ton connard de daron
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Ils auraient dû te descendre dans le salon
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Par ici, on t’fait du mal pour des ous-s
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Chaque jour ta des keufs qui nous coursent
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Investi dans la pierre, pas en bourse
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J’y pense, j’y pense
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Réussir dans ma vie mieux que tous
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J’me rappelle quand il s’moquait en douce
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J’me rappelle quand il s’moquait
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J’y pense, j’y pense
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Il m’faut du biff donc j’ai volé des tonnes
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Sur le rrain-te, j’suis toujours en attaque
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En bas du bloc, on se bat pour le guap', guap', guap'
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J’ai dû acheter un brolique
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Pour ma miff, je donne tout
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Dis-moi pourquoi ils paniquent quand j’demande «ça vient d’où ?»
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Les p’tits lèvent comme à Philly
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J’suis meilleur dans mes feelings
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À chaque compét', j’remporte la coupe
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J’ai dû acheter un brolique
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Je donne tout (je donne tout)
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Dis-moi pourquoi ils paniquent, j’demande «ça vient d’où ?»
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Les p’tits lèvent comme à Philly (han, han)
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J’suis meilleur dans mes feelings (han, han)
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À chaque compét', j’remporte la coupe, coupe, coupe |