Інформація про пісню На цій сторінці ви можете ознайомитися з текстом пісні Arachnoïdes, виконавця - Bohemian Club
Дата випуску: 19.05.2015
Вікові обмеження: 18+
Мова пісні: Французька
Arachnoïdes |
J’me réveille au crépuscule, j’suis mort à l’aube |
J’connais tout mon royaume, ces loyaux sans les tomahawks |
Mon eldorado plaide pour ma cause, côte à côte |
J’marche avec des gros salauds, construis ma légende mot à mot |
Tant d’piges d’allégeance, de freestyles nocturnes |
Il est vital notre truc, avant les combines d’après vente |
Inhale drogue dure, on a la flicaille au cul |
Quand on rie pas et le soir 'vec mon nid d’alcool brut |
Dans la grisaille obscure, 'vec des pirates occultes |
Je zig zag, je bois, après on mitraille au stud' |
La vie d’shlag propulse dans la street tard |
La pillave m’occupe, c’est abyssal notre truc |
M’donne un style dark, sans la crise d’asthme, clope sur clope |
Sonne l’habillage, car mon luxe je l’porte sur l’corps |
Mama mia, l’asphalte m’assassinera |
Ou bien les forces de l’ordre dans cette impasse bizarre |
Ils s’imaginent XXX à la tête d’un empire, c’est vrai |
Drogue, 1000 échecs au compteur mais dans c’biz j’les baise |
Et j’entends XXX qu'épelle mon nom, effrite me rêves tel bloc de taga |
Epoque de rats, j’cherche l’or, le cash et j’fonce comme un con dans la bataille |
Sans la patate, nan j’veux pas rapper, j’préfère m’buter sur l’canapé |
J’fais pas la paix, la joie, l’envie, la gaieté est passée par la fenêtre |
Y’a grave d’la merde dans ma tête, j’rabache les mêmes diezs quand l’alcool |
monte |
Tel un gol-mon, j’repense à tous les putains d’frères qu’on avait |
Panoplie d’gué-dro dans la veste, j’plonge dans l’vide, vie mes questions |
Y’a pas 1000 essais, 1000 réponses, foy pour calmer la pression |
J’parais sombre, laisse-moi seul avec ma re-biè, j’vous baise tous fort |
Tous gobent, y’a pas d’sous-homme, sous rhum, j’crains pas la douce mort |
Tous tels cancéreux en fin d’vie, les grandes tasses-pé font l’plein d’bites |
J’ai l’cran d’arrêt et j’compte la mettre à plein d’types |
La faim m’guide, 4−5 spliffs afin d'évacuer la peine |
Viens donc saluer la bête, allumer la mèche ou l’calumet |
J’viens parfumer la pièce avec mes Bohémiens, mes soldats tristes |
J’porte ma bite, si tu veux ma vie, j’espère qu’la mort t’ravive |
Tôt j’me suis laisser posséder |
Mais j’vaux autre chose depuis que les mots s'épellent |
Depuis que les mots révèlent leur caractère brut |
Ça parait cru, faut s’tirer c’est écrit, l’fléau est présent |
Rare de pouvoir apprécier sans critique |
Anticipe, avant d’valider ce mélo' très gênant |
Le couloir a dévié, t’enrichie |
Lance-missile, avance calibré, le réseau fait ses plans |
On m’avait prévenu, j’ai besoin d’réviser |
Revoir les budgets, les projets à la baisse |
L’erreur me rebute, se répercute dans les gestes |
Justement j’ai prévu d’m'éloigner subitement vu toutes les pensées traîtres |
J’me rappelle plus de c’que j’suis censé faire |
J’ai du m’venger sur des pamphlets d’haine |
J’ai XXX, tu sais quand t’es maître |
Le jeu s’arrête, je te fuis en effet, sans respect |