Інформація про пісню На цій сторінці ви можете ознайомитися з текстом пісні L'enfoiré, виконавця - Heuss L'enfoiré.
Дата випуску: 29.11.2018
Вікові обмеження: 18+
Мова пісні: Французька
L'enfoiré |
Double verre de whisky |
Frappe tah Lewandowski |
Tu la verras pas venir |
Comme quand ça tire |
Tah Vladimir |
Eh, tu l’verras pas venir comme quand ça tire |
C’est l’histoire d’un mec qui veut s’refaire comme Vladimir |
Mais ça va mal finir, c’est les cités, c’est pas des gamineries |
Bicrave des grammes de matchitchi, fait pas d’graffiti |
Dans sa tête, c’est GTA San Andreas ou bien Vice City |
Comportement d’OG, respecté comme CJ |
La rue l’identifie, les délits s’amplifient |
Les ients-cli l’enrichissent mais délaissent vite le shit pour liquider d’la |
coke |
Faire tapiner des putes et la re-sœu des autres |
Quarante trois Marocchi, jamais très loin d’ses côtes |
Tu vois j’te parle de quel genre de mec |
Il traîne avec Zepek mais c’est pas Travis Scott, il aime la rue d’Aerschot |
Et les assiettes scampis, en 2012, au placard, il cantine |
Bé-tom jamais pour des centimes, plus rien peut l’attendrir |
Il baisera pas Sandrine, il baissera pas son jean |
J’avoue c’est gore mais la prison le rend d’plus en plus fort |
Distribue que d’la mort dès qu’il tigisogort, il fera pire encore |
Trois ans plus tard, il rebé-tom, rebelote à Nanterre |
Mais crois pas qu’il s’endort, son blase est légendaire |
Avant sa mort, juste avant qu’on l’enterre |
Il veut d’l’or et s’repentir pour pas goûter l’Enfer |
La rue et les affaires lui ramènent fort d’la prison ferme |
Encule tous les conseils, bats les couilles des grands frères |
Pour récupérer du gent-ar, l’esprit sait comment faire, fais ça sans commentaire |
Mentalité d’gangster, y a que des fils de putes qui lui souhaitent le cancer |
Toujours dans les transferts, de Villeneuve à Saint-Ouen, il a fait des pleins |
phares |
Y a que d’vant l’commissaire qu’il est plus très bavard |
Remets tout à plus tard, respecte tous les bus-bar, il arrive quand tu pars |
Y a qu’en promenade ou dans les cités que t’as déjà dû l’voir |
C’est un Arabe au cœur noir, moitié Kosovar, un Mexicain notoire |
Moi, j’sais qu’il aime trop boire et rester en attaque |
Il connaît toutes les plaques des équipes de la dép' et les mecs de la BAC |
La police le débecte mais faut bien qu’il s’adapte |
C’est au placard que les jours se répètent |
J’l’ai déjà vu faire des grammes de zipette à l’aveuglette |
Dernièrement, j’l’ai vu d’mes yeux, il crossait son voisin |
Apparemment, c’est son cousin qui braque les magasins |
Calcule pas les vagins vu qu’il aime trop l’argent |
Cousine, il a pas l’temps, c’est un vrai attaquant, que dans les déplacements |
Essaye pas d’le cher-bran, il s’est déjà lé-bran, tu sais bien qu’il est grand |
Lui dis pas qu’il est temps d’arrêter tout ça, c’est un pur yakuza, |
il peut mourir pour ça |
Et baiser la Cosa, faire une Totò Riina avec Provenzano |
Généralement, il baise des putes et il mange au McDo', il possède pas d’château, |
c’est pas El Chapo |
C’est juste un vrai charo', tu vois déjà l’tableau |
Il fait jamais d’cadeau, que des khapta au Jack pour mieux se rétablir |
Ses plans sont établis, j’te raconte toute sa vie |
Tu peux la faire à d’autres; ici rien est gratuit, il supporte que Paris |
Pour lui, tout est carré comme le Nord d’la Corée |
La rue, même la maison d’arrêt, il aime trop les cités |
Il nettoie son tard-pé toujours dans son quartier, c’est Medellín Cartel |
Il fonce à l’Ile-Saint-Denis, bicrave ça comme Barksdale |
Avec tous les esprits, la police l’interpelle |
Il revient d’Eindhoven ou bien d’Antwerpen |
Les esprits sont bres-som, c’est pas un socialiste ni un franc-maçon |
C’est juste un grand garçon qui boit des rres-ve d’Whisky sans glaçon |
Hé, ma grande, s’te plaît, fais pas la belle, s’il t’a ken au Timhotel, |
t’auras pas d’prix Nobel |
J’te donne deux-trois conseils pour faire un peu d’oseille |
Prends ta chienne, mets-la sur VivaStreet ou sur SexModel |
Achète-lui six phones-tel', tu vas faire un bordel |
Paris, c’est pas L.A., c’est Mexico et Medellin Cartel |
Vincent, c’est Vince Diesel sur le périphérique |
Et Loulou, c’est Derrick, la départementale bosse comme en Amérique |
Y a beaucoup d’gens qui flippent, la moitié savent que ça peut aller vite |
C’est nous, les rats des villes, c’est pas une tragédie |
Many, j’le cace-dédi, les autres se travestissent |
Pendant qu’on investit sur la bonne machichi, quitte à ber-tom l'été |
Le charbon, c’est l’métier, le jargon bien salé pour sortir d’un guêpier |
Ici, c’est les cités et j’te déconseille d’y mettre les pieds (d'y mettre les |
pieds, d’y mettre les pieds, d’y mettre les pieds) |